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116. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Regnard a emprunté une grande partie de celles du Ménalque de La Bruyère, et sa pièce n’est qu’une suite d’incidents qui ne peuvent jamais produire un embarras réel, parce que le Distrait rétablit tout dès qu’il revient de son erreur, et qu’on ne peut, quoi qu’il fasse, se fâcher sérieusement contre lui. […] Il est probable que ses premiers essais en ce genre influèrent dans la suite sur sa manière d’écrire.

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