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160. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

Une simple observation suffit pour prouver que Les Précieuses ridicules et Les Femmes savantes, ces deux ouvrages dont, en quelque sorte, l’un ouvre et l’autre ferme la carrière dramatique de Molière, sont comme deux actes d’une même volonté, deux résultats d’un même dessein, c’est que la petite pièce en prose est proprement le germe de la grande comédie en vers. […] Les railleries les plus cruelles et les plus répétées contre les médecins ne suffiraient pas pour constater l’opinion réelle d’un homme et particulièrement d’un poète comique sur la médecine.

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