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17. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

La correction du style résulte de la fidélité aux lois du langage; la justesse de l’accord du style avec la pensée. […] Si grands que soient les mérites d’un style soigné et savamment correct, on est pourtant plus attiré par les bonnes fortunes et les éclairs soudains d’un style d’inspiration, comme celui de Molière. […] En fait de style, ce que le génie rencontre par hasard vaut presque toujours mieux que ce que cherche le talent. […] Or le caractère du pamphlet se retrouve jusque dans les détails du style. […] Je reviens au style de Molière.

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