Mais ce brusque départ de Célimène laisserait le spectateur sous une impression trop pénible. […] Elle se montre, comme la tragédie sa sœur, strictement régulière; l’action se développe avec aisance en se resserrant dans de justes limites; tout se fait séance tenante, et les entr’actes sont moins un temps d’arrêt qu’un moment de repos réservé aux acteurs et aux spectateurs.