Ce qui le prouve, c’est, qu’ils sont dans la mémoire de tous ceux qui fréquentent le spectacle. […] Le Deuil est encore un conte le revenant, et Crispin Médecin, et le Cocher supposé, ne doivent leur existence qu’à l’indulgence excessive que l’on a ordinairement pour ces petites pièces qui complètent la durée du spectacle.