C’est un spectacle moral, de montrer celte imprescriptible liberté de l’âme qui reste bonne, pure, intelligente, capable et désireuse du vrai et du bien, malgré les efforts les plus patients et les plus habiles ; qui, jusque dans la naïveté d’une extrême ignorance, garde une fleur de grâce native, marque ineffaçable de son origine et de ses droits ; en sorte qu’après la lecture de la lettre d’Agnès, il n’est personne qui ne dise avec Horace : Malgré les soins maudits d’un injuste pouvoir, Un plus beau naturel peut-il se faire voir ? […] III. — Voir le Portrait du Peintre, ou la Contre-Critique de l’École des Femmes, par Boursault (1G63) ; le Traité de la Comédie et des spectacles selon la tradition de l’Église, par le prince de Conti (1667) ; J.