Enfin où chacun a marqué si avantageusement son dessein de plaire au roi, dans le temps où Sa Majesté ne pensait elle-même qu’à plaire, et où ce qu’on a vu ne saurait jamais se perdre dans la mémoire des spectateurs, quand on n’aurait pas pris le soin de conserver par écrit le souvenir de toutes ces merveilles. » Après avoir parlé des fêtes qui précédèrent, et qui suivirent la représentation de La Princesse d’Élide, il est nécessaire de revenir à cette même pièce, dont M.