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17. (1716) Projet d’un traité sur la comédie pp. 110-119

Ainsi malgré l’exemple de Plaute, où nous lisons : cedo tertiam, je soutiens contre Molière, qu’un avare, qui n’est point fou, ne va jamais jusqu’à vouloir regarder dans la troisième main de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé. […] Mais, sans entrer dans cette longue discussion, je soutiens que Platon et les autres Législateurs de l’Antiquité païenne n’auraient jamais admis dans leurs Républiques un tel jeu sur les mœurs.

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