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112. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351

Molière recourait tout naturellement aux Italiens, à ces artistes turbulents, lorsqu’il avait besoin d’ac- célérer le mouvement d’une pièce ; c’est ainsi que, dans cette comédie de L’Avare, peinture d’un vice qui se soutient difficilement au théâtre, il mit à contribution cinq ou six canevas de la commedia dell’arte.

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