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84. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

Non, il est le premier à souffrir de son mal, et n’en fait point parade vaniteuse. […] Ces séductions perfides qui peuvent captiver une âme loyale, Molière les connaissait pour en avoir souffert. […] Les excellentes maximes de Cléante en souffrent donc un peu. […] Il faut souffrir sa critique, comme un effet de sa justice. […] Mais Molière les joue eux-mêmes, ce qu’ils ne peuvent souffrir. » 120.

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