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79.

À celui qui peignit la grâce singulière De Célimène, dont il devait tant souffrir, Et qui vécut son Œuvre, — hélas ! […] Qui pourrait souffrir, dans la bouche de ces gens, les phrases suivantes : “mon astre ; beau tison de ma flamme ; chère comète, arc-en-ciel de mon âme” ?  […] Lorsqu’il parle de « remettre le fils en grâce avec le père », cette phrase ne souffre pas, à notre avis, d’être traduite comme s’il y avait « ramener le fils dans les bras de son père ». […] Mais le ton général de la tirade nous paraît avoir souffert de cette réduction. […] » souffre, à notre avis, des nombreux enjambements que M. 

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