C’est au mépris des droits de cet enfant, orphelin de père, que Molière aurait souffert qu’on enrichit sa femme et sa fille, qui n’avaient nullement besoin de ce supplément d’opulence !
C’est au mépris des droits de cet enfant, orphelin de père, que Molière aurait souffert qu’on enrichit sa femme et sa fille, qui n’avaient nullement besoin de ce supplément d’opulence !