Mais supposé, comme il est vrai, que les exercices de la piété souffrent des intervalles, et que les hommes aient besoin de divertissement, je soutiens qu’on ne leur en peut trouver un qui soit plus innocent que la comédie11. » Innocent, c’est trop dire : mais est-ce là le langage d’un homme qui veut enseigner la morale ?