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106. (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -

S’il eut souvent à souffrir de leurs manœuvres, il ramassa toutes ses forces pour leur porter un seul coup, mais un coup dont ils se sentiront toujours ; et l’on pouvait même croire qu’il les avait entièrement détruits. […] et ne sait-on pas qu’ordinairement elle nous fait moins souffrir de ce qui est que de ce qu’elle invente ? […] Il continuait de composer, ne voulait point renoncer à jouer la comédie, et se montrait toujours plus épris des agréments de sa femme, quoiqu’il souffrit chaque jour davantage de son indifférence et de sa légèreté. […] Il prouva trop bien qu’il l’entendait ainsi.Le jour de la quatrième représentation du Malade imaginaire, il souffrait de la poitrine plus qu’à l’ordinaire. […] Il ne souffrait, dans les autres, aucun air, aucune hauteur.

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