Jaloux de son autorité, mais bonhomme au fond, et point difficile à mener, Orgon souffre à sa femme ces conversations à la mode et les collations et les bais qui s’ensuivent communément. […] (Il aurait pu, en effet, la faire souffrir longuement, pourvu qu’il l’eût d’abord offerte à Dieu.) […] Il faut néanmoins faire rire avec le vers : Venger le ciel qu’on blesse… comme dans la scène de la confession générale, comme plus loin, à la dernière scène du rôle, quand notre homme affirme avec une vertueuse conviction : … qu’il est pour le ciel appris à tout souffrir.