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103. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Aussi bien, ces études de droit, qu’il faudrait faire tomber vers 1642, auraient-elles eu fort à souffrir des distractions de Molière. […] En tout cas, de quelque côté que soit la première faute, Molière a souffert, et profondément souffert de ce mariage. […] Molière raconte ce qu’il a vu ici-même, ce dont lui-même sans doute a souffert, dans ses années de courses aventureuses à travers la France.

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