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3. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Molière a voulu simplement corriger les hommes de la sotte vanité qui les porte à chercher des alliances dans un rang plus élevé que le leur. […] Rire des tours qu’on joue à un sot qui s’y est exposé volontairement, ce n’est pas approuver l’aigrefin, le fourbe, le fripon qui le trompe. […] Un sot, formé des mains de Molière, ne pouvait être le sot commun qui court les rues et qu’on voit partout. […] Ils s’amusent entre eux d’un sot qu’ils bafouent. […] Il n’était pas nécessaire, il ne convenait même pas qu’ils fussent ignorants et sots.

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