La seconde partie, appelée tragédie, si féconde en grands effets, resta uniquement destinée à montrer les grands coups du sort, ces passions terribles qui portent tour à tour dans l’âme la pitié et la terreur. […] Alors, plus régulière dans sa marche, la comédie s’attacha uniquement à scruter profondément notre cœur, à en sonder les replis, et à provoquer le rire par la peinture exacte et véridique des vices, des ridicules qui influent sur toute notre existence, nous font envisager les objets sous un point de vue absolument faux, égarent notre jugement, et nous empêchent souvent de jouir du bonheur que le sort nous avait accordé.