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154. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Il lui semble toujours que le bonhomme en va sortir, suivi de son premier laquais, de son second laquais. […] quelle est cette voix qui sort de ce nez de mauvais augure, un pied de nez, autant que de cette bouche pincée en cœur ? […] un baiser à Rome, un baiser sur le front d’une esclave qui sort du bain ! […] Ce n’est pas elle qui recevrait un amant dans sa chambre, sauf à lui dire : — Sortez, sortez, sortez, vous me mettez au désespoir…, et tout le reste du récit de la petite Louison. […] » Et il sort, sans dire un petit mot pour Lucinde et ses cinquante mille écus !

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