Ni la Comédie-Française, ni l’Odéon n’y ont songé. […] On ne songe qu’avec respect à ces entretiens à la fois familiers et sublimes, et on se demande pourquoi l’air qui passe emporte à jamais les paroles qui tombent parfois de la bouche du génie. […] Je songe toujours en lisant ou en écoutant la pièce à tout ce que l’auteur supporta avant de la faire représenter. […] Je ne puis songer à ce trépas, sans faire éclater mes sanglots. […] Seulement, le malheur nous a appris à nous serrer avec tant de soin contre la France, notre mère, que nous ne songeons plus maintenant (et nous faisons bien) à donner à Molière d’autre nom que ce nom seul de Français, d’autant plus aimé qu’il est plus battu du sort.