/ 222
4. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

J’en ai eu plus de peine à développer la vérité ; mais je la rends sur des Mémoires très assurés ; et je n’ai point épargné les soins pour n’avancer rien de douteux. […] Molière était continuellement occupé du soin de rendre sa Troupe meilleure. […] À la fin ne sachant plus que dire sur le Mogol, il offrit ses soins à Molière. ―  Oh ! […] Molière n’était pas seulement bon Acteur, et excellent Auteur, il avait toujours soin de cultiver la Philosophie. […] Et Molière avait bien raison d’être mortifié de l’avoir travaillé avec tant de soin pour être payé de sa peine par un mépris assommant.

/ 222