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21. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Je vous laisse le soin de chercher dans son discours la réponse qu’y fait M. […] On peut ne pas suivre la voie de ses premiers maîtres ; mais il n’est pas permis de payer par le persiflage des soins dévoués. […] Sganarelle en dit autant sous d’autres formes, et Ariste lui-même, le sage vieillard, en suivant une voie opposée, ne met pas en seconde ligne le soin de sa réputation. […] Elle continuait à n’y être que la ménagère; son esprit y languissait, uniquement adonné à des soins vulgaires et prosaïques. […] Ce côté faible de Molière se montre dans les pièces qu’il a travaillées avec le plus de soin.

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