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165. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Ses deux principaux compagnons, les frères Béjart, avaient une sœur nommée Madeleine, fille de vingt-sept ans, qui n’en était plus à ses débuts. […] « Il ne paraît pas contestable, dit Bazin, qu’elle eût été élevée, surtout depuis quelques années, dans le ménage presque commun où vivaient Molière, Madeleine Béjart, d’autres encore de la même troupe. » Bref, cette Béjart, que le moraliste, désormais bien délivré de sa timidité, épousait, était probablement la fille, et tout au moins la sœur de l’autre Béjart, avec laquelle il faisait ménage depuis seize ou dix-sept ans.

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