Durant les quinze ans de son existence parisienne, l’a mort lui enlève ceux auxquels l’unissent les liens les plus étroits d’amitié et de parenté : en 1650, son camarade Joseph Béjart ; en 1660, son frère Jean Poquelin ; en 1664, son premier-né ; en 1665, sa sœur Madeleine Boudet ; en 1669, son père ; en 1672, son amie Madeleine Béjart et un second fils.