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136. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Les deux sœurs de Psyché enragent de ses succès ; elles se confient l’une à l’autre leurs jalousies et leurs rancunes. […] Les princes lui offrent leur amour. « Que ne vous adressez-vous à mes sœurs ?  […] Non, c’était une jeune femme qui connaissait les joies et les peines de l’amour, et qui avait pitié de ses sœurs qu’on délaissait. […] Chrysale est un bourgeois, cela est certain ; il vit tranquille, loin de la cour, dont il ne parle guère, et dont sa femme, sa fille, la pimbêche Armande, sa sœur, et Trissotin, leur ami, se font une idée très fausse. […] Il s’avance sur sa femme : Je vous le dis, et, au mouvement qu’elle fait, il se retourne prestement, d’un air piteux : ma sœur.

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