On sait que Molière parlait fort peu en société. […] Alceste est animé des meilleurs sentiments ; mais, affligé d’une nature morale trop impressionnable, les vices de la société l’irritent. […] Ces choses-là ne se rencontrent que trop souvent dans la société. […] Molière n’a pas manqué de rendre ce service à la société, et il l’a fait avec une supériorité digne de lui. […] Si l’instruction est en progrès, l’éducation se trouve dans un état de décadence complète, et cela, il faut bien le reconnaître, dans tous les rangs de la société.