/ 176
54. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

Il n’a peint aussi qu’une classe de la société, celle des petits bourgeois ; et son théâtre, comme celui de Dancourt, a de la monotonie. […] « Si la comédie était constamment l’expression  de la société, dit M. […] Comment donc expliquer cette opposition constante, ce contraste presque continuel entre le théâtre et la société? […] Mais est-ce une raison que leur peu d’équité Pour se vouloir tirer de leur société ? […] Au contraire, le philosophe Philinte devait voir tous les désordres de la société avec un flegme stoïque, et se mettre en fureur au moindre mal qui s’adressait directement à lui.

/ 176