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161. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Cyrano de Bergerac, que son père avait envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses études, qu’il avait assez mal commencées en Gascogne, se glissa dans la société des Disciples de Gassendi, ayant remarqué l’avantage considérable qu’il en tirerait. […] Je n’ai pas pensé que j’étais trop austère, pour une société domestique. […] Chapelle reprochait toujours à Molière son humeur rêveuse ; il voulait qu’il fût d’une société aussi agréable que la sienne ; il le voulait en tout assujettir à son caractère ; et que sans s’embarrasser de rien il fût toujours préparé à la joie. ―  Oh !

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