Il vivait en un siècle où l’on n’avait pas besoin de toucher à l’arche pour émoustiller les appétits engourdis. […] Que l’éternelle beauté soit dans l’œuvre d’Eschyle comme dans l’œuvre d’Homère, cela ne soulève aucun doute; il est certain aussi que la poésie de tous les peuples et de tous les siècles a puisé abondamment à cette source qui bouillonne aux plus hauts sommets de l’art antique ; mais il manque quelque chose à cela pour nous.