Ô siècle et pervers et barbare ! […] Voltaire a eu un mot très judicieux, très précis, dans son jugement en dix lignes sur Molière au chapitre XXXII du Siècle de Louis XIV : « Il a été le législateur des bienséances de son siècle. » Rien de plus ? […] Eh bien, nous y voilà, il a été le législateur des bienséances de son siècle. […] Il est bien le législateur des bienséances de son siècle. […] Car — vous l’avez dit vous-même — le sens commun change ; il n’est pas le même à deux siècles de distance.