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40. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Il n’y a point, dans tout le siècle, d’autre exemple d’une gloire si universellement respectée. […] Elle a eu l’honneur d’être réfutée par les deux plus grands orateurs sacrés du grand siècle. […] Il appelle quelque part le siècle de Louis le Grand un siècle d’hypocrisie ; il y revient sans cesse avec des foudres plus indignées. […] Nous les connaissons très bien ; notre siècle en expose à nos yeux une troupe considérable. […] La vertu est toujours la même et notre siècle en a le même besoin que les siècles précédents.

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