— N’avait-il donc pas vu lui échapper l’héritage comique de trois siècles ? […] Notre amateur est né à la fin du siècle passé. […] Ainsi ce siècle boudait contre ce même Molière qui l’avait tant amusé. […] Un siècle qui se meurt est si heureux de se rattacher à une poésie naissante ! […] L’une résiste aux siècles, l’autre est emportée comme elle est venue, par la mode.