Racine et Fénelon, voilà, de tous ces écrivains illustres, les seuls qui appartiennent réellement au règne de Louis XIV. […] Il n’y a peut-être pas un seul exemple, dans notre littérature, d’une stérilité aussi déplorable que celle que présentent les vingt dernières années du grand roi. […] De ces deux listes, on en fit une seule, devenue l’état des pensions de 1663, si souvent cité comme une véritable curiosité. […] Cette protection est la seule utile, la seule dont les préférences soient vraiment flatteuses. […] C’est, de toutes ses influences littéraires, la seule qu’il ne soit pas permis de contester.