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179. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Resté seul, Flavio lit la lettre, dans laquelle Flaminia le prie instamment de ne plus fréquenter la comédie. […] Les deux valets Pedrolino et Arlequin restent seuls sur le théâtre. […] Je vois bien que nulle ne lui plaît que l’autre ; c’est elle seule qu’il désire.

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