Les Auteurs frémiroient de la négligence qu’ils affectent pour les titres de leurs pieces, si, réfléchissant sur l’Histoire du Théâtre, si, étudiant la cause de la réussite ou de la chûte des pieces, ils daignoient voir que plusieurs bonnes comédies sont tombées, ou n’ont pas eu un grand succès, par la faute seule du titre. […] Ces deux couplets semblent vouloir tenir ce que promet le titre d’Orpheline léguée ; mais ce sont les seuls. […] Mon amour n’a point éclaté : Mes regards seuls ont pu lui déclarer ma flamme.