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151. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Molière n’était pas le seul de ses amis à qui sa conduite fit de la peine. […] Mais enfin la Providence, qui ne m’abandonna jamais d’un seul pas, me secourut à point nommé. […] Son mari lui copiait ses rôles ; et c’était la seule personne dont elle pût lire l’écriture. […] Il paraît que Racine fut le seul écouté. […] C’était le seul moyen de répondre au désir de la foule.

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