Moliere, ainsi que Plaute, se sert de ce prologue pour exposer l’avant-scene ; mais, dans le latin, Mercure adresse tout uniment la parole au spectateur, ce qui rompt l’illusion.
Moliere, ainsi que Plaute, se sert de ce prologue pour exposer l’avant-scene ; mais, dans le latin, Mercure adresse tout uniment la parole au spectateur, ce qui rompt l’illusion.