/ 265
163. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Molière s’en est servi un peu, plus tard, pour George Dandin. […] Je suis bien malheureux de souffrir cette atteinte ; Et que me sert d’aimer comme je fais, hélas ! […] Dans la composition de son personnage du trompeur, Molière a été gêné, servi aussi, mais tout compte lait plus gêné que servi, par la nécessité qu’il fût comique en même temps qu’odieux et il y a peut-être un léger flottement. […] Tout y est, je le reconnais ; mais c’est pour cela que c’est clef à toutes portes et c’est de ces clefs qu’il ne faut pas se servir, parce que ce qui peut tout prouver ne prouve lien. […] pas »pour le servir dans une circonstance pénible et un peu dangereuse.

/ 265