Ajoutons que, du temps de Molière, un mari sentait autrement l’infidélité de sa femme, que du temps de Plaute ; et que le malheur de l’un, comme le tort de l’autre, était autrement envisagé par la société.
Ajoutons que, du temps de Molière, un mari sentait autrement l’infidélité de sa femme, que du temps de Plaute ; et que le malheur de l’un, comme le tort de l’autre, était autrement envisagé par la société.