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210. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

Il y a dans le texte italien de ce divertissement de nombreuses fautes d’orthographe venant de l’impression musicale, (il y en a bien d’autres dans les partitions des opéras de Lully) ; mais nous n’avons pas besoin d’insister pour faire sentir les différences notables qui existent entre l’intermède tel qu’il est copié ci-dessus et celui que donnent les œuvres de Molière. — Il y a surtout un renversement complet dans l’ordre des deux scènes des avocats et des apothicaires — Pourceaugnac s’exprime tout le temps en Italien ; — il chante un air sentimental.

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