. — On dirait en effet à certains moments que, fatigué de se traîner toujours dans cette atmosphère plus ou moins énervante de nos instincts et de nos passions, il a senti lui aussi le besoin de prendre son vol vers ces cimes sublimes de la conscience et du devoir, où l’air est toujours pur, et la lumière d’en haut toujours rayonnante. […] Il a senti l’impérieux besoin de laisser déborder tous les sentiments que la cruelle expérience avait amassés dans son âme.