Il y aurait un vrai sentiment de l’art dans un tel genre, s’il ne devenait pas superficiel et insignifiant. […] À quoi bon la peinture d’une âme noire dépourvue de tout sentiment humain ? […] En revanche, on lui reproche un jeu trop frivole dans l’expression des sentiments ; mais, est-il juste de demander à un léger prestige tel que l’opéra, la sévérité du cothurne tragique ? […] Les rêves voluptueux du sentiment n’y devraient être dissipés que par les merveilles de l’imagination. […] Voilà une idée et des effets qui prouvent un vrai sentiment de l’art, mais l’exécution laisse encore beaucoup à désirer.