Malgré l’incurie de leurs parents, les deux Béjart se firent toujours remarquer par la noblesse et l’élévation de leurs sentiments. […] Je n’ai pas les sentiments assez flexibles pour la domesticité. […] Les femmes affectaient entre elles une exagération romanesque de sentiments. […] Le pauvre mari, qui n’eut d’autre tort que d’aimer une coquette, avait, malgré cette rupture, conservé pour elle des sentiments qu’elle ne méritait pas. […] Les sentiments et les rôles de ces divers personnages devaient bientôt changer de nature ; mais n’anticipons pas sur les événements.