/ 207
109. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120

Il faut qu’elle ait le sentiment profond de ses devoirs ; et c’est pour les mieux accomplir qu’elle doit user des droits que Molière réclame. […] Elle ne deviendra pas, comme Béline, un monstre dans lequel l’égoïsme et l’avarice ont effacé tout ce qui restait de la femme369 ; ni, comme Philaminte, une pédante orgueilleuse qui sacrifie son mari, sa fille, sa maison à la vanité, du bel esprit370 ; ni, comme Mme de Sotenville, une folle de Noblesse, en qui l’amour du nom et du titre a tué tout autre sentiment, et qui croit qu’une famille n’est qu’une généalogie371.

/ 207