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79. (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129

Ici le sens est interrompu, les interlocuteurs ne se répondent pas ; ils cessent de s’entendre. […] Et l’on ne saurait, sans changer le sens de ces deux phrases, remplacer le mot gent par les mots gentil, gentille. […] Il s’agit d’entendre le texte de l’auteur, de donner un sens à certains vers. […] Le temps du verbe est déterminé par le sens même de cette locution, qui était d’un usage vulgaire et presque proverbiale à l’époque de Molière. […] Ce mot domestique avait alors un sens beaucoup plus étendu qu’aujourd’hui.

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