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181. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Le cœur et la vie ne semblent pas faits l’un pour l’autre. […] Réduite à l’abaissement moral dans l’antiquité, relevée par le christianisme, exaltée par la chevalerie, il sembla que la femme eût trouvé dans les salons, qui succédèrent aux cours d’amour du moyen âge, la position sociale qui lui convenait.

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