Il me semble que Merlin imitant son confrere en fourberie, se peignant, à son exemple, comme un fin renard qui se moque d’un vieux hibou & d’une vieille chouette, le disant à Géronte & à Mad. Bertrand, les exhortant à se tourner de son côté pour mieux voir l’animal malin : il me semble, dis-je, que Merlin dans une pareille situation auroit été très comique. […] Ne nous acharnons pas à recueillir, à combattre les invraisemblances d’un Auteur qui ne se piqua jamais de se rapprocher de la nature, & qui semble ne s’être appliqué dans tous ses ouvrages qu’à faire rire, n’importe par quel moyen.