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155. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

Il me semble que Merlin imitant son confrere en fourberie, se peignant, à son exemple, comme un fin renard qui se moque d’un vieux hibou & d’une vieille chouette, le disant à Géronte & à Mad. Bertrand, les exhortant à se tourner de son côté pour mieux voir l’animal malin : il me semble, dis-je, que Merlin dans une pareille situation auroit été très comique. […] Ne nous acharnons pas à recueillir, à combattre les invraisemblances d’un Auteur qui ne se piqua jamais de se rapprocher de la nature, & qui semble ne s’être appliqué dans tous ses ouvrages qu’à faire rire, n’importe par quel moyen.

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