Despréaux que Molière, qui peint avec tant de force et de beauté les mœurs de son pays, tombe trop bas quand il imite le badinage de la comédie italienne. » Et Fénelon cite, pour finir, les deux vers de Boileau à propos du sac ridicule où Scapin s’enveloppe. […] En fait de farce, il nous a donné plus de héros que tout le théâtre espagnol, si fécond, n’en trouva jamais : Sganarelle, Orgon, Scapin, les uns vieux, les autres jeunes, espiègles, imbéciles, ivrognes, amoureux, pendards ; et enfin M. de Pourceaugnac !