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92. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

On y retourna, et au fond d’un coffre rempli d’une foule de vieilles bardes, en tout semblable à la malle du Géronte des Fourberies de Scapin, on découvrit deux mille bonnes livres en pistoles, écus d’or et douzains, qu’on se hâta d’inscrire à la suite de la désignation précédemment faite des objets contenus dans le coffre. […] Pourquoi ce problème d’état civil, près duquel ressort la vraisemblance même de ces combinaisons d’imbroglios scéniques des Fourberies de Scapin, de l’Avare, de L’École des Femmes, etc. ? […] Dans les Fourberies de Scapin, pareille aventure encore au dénouement : retour d’un père, reconnaissance, embrassement. […] Molière donna les Fourberies de Scapin ; après les Femmes savantes, autre comédie d’une portée trop essentiellement littéraire pour être comprise du public tout entier, il joua le Malade imaginaire, de même qu’après l’École des femmes était venu le Mariage forcé, et Georges Dandin après Tartuffe. […] Cependant Boileau lui passa Don Garcie et ne lui pardonna pas Scapin.

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