Il a fait encore une allusion aux Fourberies de Scapin en parlant des rapports entre les maîtres et les serviteurs. […] Il se fâche aussi fort contre les Fourberies de Scapin que contre l’Avare. […] Les Fourberies de Scapin ne sont qu’une farce et ne se donnent que pour une farce sans aucune prétention ni intention. […] Mais alors il aurait dû, pour la même considération, tenir les Fourberies de Scapin pour négligeables. […] Puis, le plaçant en face de l’œuvre de Molière, il nous fait remarquer qu’il est impossible que ce public ne prenne pas parti pour le fils d’Harpagon contre son père, pour la fille d’Harpagon contre son père, pour la femme de Dandin contre Dandin, pour Scapin contre Géronte.